Didier van Cauwelaert

Didier van Cauwelaert

Jules

Présentation 2'03"

Prix Goncourt 1994 pour « Un aller simple », Didier van Cauvelaert a à son actif plus d’une vingtaine de romans, sans compter des récits, des essais ou encore des pièces de théâtre. Ce besoin de l’écriture arrive très jeune, dès 8 ans, il se sent des velléités d’écrivain.
Il attendra tout de même l’âge de 22 ans pour concrétiser ce rêve. Mais depuis, il n’a jamais cessé d’écrire avec toujours le même plaisir.
Si dans certains de ses livres, l’intrigue flirte avec la légèreté, l’humour, le romantisme, il n’en reste pas moins que Didier van Cauwelaert met toujours en scène des personnages fragilisés par la vie et aborde des thématiques sociétales qui lui sont chères.
C’est le cas dans Jules où nous allons faire connaissance avec ce bon gros chien dont la particularité est d’être guide d’aveugle. Depuis des années, il vit en binôme avec la jeune Alice, devenue aveugle accidentellement dans son enfance.
Quand Alice recouvre la vue, Jules se sent abandonné, désoeuvré. C’est sans compter sans un vendeur de macarons qui deviendra le meilleur allié de notre chien.
Vous l’aurez compris, il s’agit là d’une comédie romantique, d’un chassé-croisé amoureux plein d’humour de tendresse.
Mais au-delà de son talent de romancier, Didier van Cauwelaert aborde de nombreux thèmes de société : le handicap, l’homosexualité, les relations parents/enfants, le libéralisme économique, l’adoption, l’émigration… Le plaisir de la lecture n’empêche pas la réflexion !
On s’attache très vite à cette galerie de personnages, Alice, Zibal, Fred, sans oublier les habitants de Trouville qui donnent vie à cette histoire.
Quant à Jules, ce bon gros toutou, vous l’entendrez aboyer et réclamer des caresses bien après avoir refermé le livre. Voilà un nouveau cabot dans le monde littéraire !
Un coup de coeur que ce nouveau roman de Didier van Cauwelaert. « Jules » est publié par Albin Michele et Didier van Cauwelaert est sur WTC.

Prix Goncourt 1994 pour « Un aller simple », Didier van Cauvelaert a à son actif plus d'une vingtaine de romans, sans compter des récits, des essais ou encore des pièces de théâtre. Ce besoin de l'écriture arrive très jeune, dès 8 ans, il se sent des velléités d'écrivain. Il attendra tout de même l'âge de 22 ans pour concrétiser ce rêve. Mais depuis, il n'a jamais cessé d'écrire avec toujours le même plaisir. Si dans certains de ses livres, l'intrigue flirte avec la légèreté, l'humour, le romantisme, il n'en reste pas moins que Didier van Cauwelaert met toujours en scène des personnages fragilisés par la vie et aborde des thématiques sociétales qui lui sont chères.
C'est le cas dans Jules où nous allons faire connaissance avec ce bon gros chien dont la particularité est d'être guide d'aveugle. Depuis des années, il vit en binôme avec la jeune Alice, devenue aveugle accidentellement dans son enfance. Quand Alice recouvre la vue, Jules se sent abandonné, désoeuvré. C'est sans compter sans un vendeur de macarons qui deviendra le meilleur allié de notre chien.
Vous l'aurez compris, il s'agit là d'une comédie romantique, d'un chassé-croisé amoureux plein d'humour de tendresse. Mais au-delà de son talent de romancier, Didier van Cauwelaert aborde de nombreux thèmes de société : le handicap, l'homosexualité, les relations parents/enfants, le libéralisme économique, l'adoption, l'émigration... Le plaisir de la lecture n'empêche pas la réflexion !
On s'attache très vite à cette galerie de personnages, Alice, Zibal, Fred, sans oublier les habitants de Trouville qui donnent vie à cette histoire. Quant à Jules, ce bon gros toutou, vous l'entendrez aboyer et réclamer des caresses bien après avoir refermé le livre. Voilà un nouveau cabot dans le monde littéraire !
Un coup de coeur que ce nouveau roman de Didier van Cauwelaert.
« Jules » est publié par Albin Michele et Didier van Cauwelaert est sur WTC.

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  • Prix Goncourt 1994 pour « Un aller simple », Didier van Cauvelaert a à son actif plus d'une vingtaine de romans, sans compter des récits, des essais ou encore des pièces de théâtre. Ce besoin de l'écriture arrive très jeune, dès 8 ans, il se sent des velléités d'écrivain. Il attendra tout de même l'âge de 22 ans pour concrétiser ce rêve. Mais depuis, il n'a jamais cessé d'écrire avec toujours le même plaisir. Si dans certains de ses livres, l'intrigue flirte avec la légèreté, l'humour, le romantisme, il n'en reste...L'enfant qui sauva la terre de Didier van Cauwelaert - Présentation - Suite
    Philippe Chauveau :Bonjour Didier Van Cauwelaert Didier Van Cauwelaert :Bonjour. Philippe Chauveau :Un nouveau titre de Didier Van Cauwelaert, aux éditions Albin Michel, Jules. En ce qui vous concerne, un nouveau titre, c'est toujours un événement. Lorsque l'on a été primé, lorsque l'on a reçu le Goncourt comme ce fut le cas en 1994 pour Un aller simple. Est-ce qu'à chaque sortie d'un nouveau roman, c'est pour vous une sorte de challenge ? Est-ce que le Goncourt est une sorte d'épée de Damoclès au-dessus de la tête des...L'enfant qui sauva la terre de Didier van Cauwelaert - Portrait - Suite
    Philippe Chauveau :Dans ce nouveau titre, Didier Van Cauwelaert, nous allons avoir j'ai envie de dire trois personnages essentiels. Il va y avoir Zibal, Alice, puis Jules. On parlera aussi de Fred qui aura son importance au fil des pages. Il y un joli chien sur la couverture choisie par Albin Michel. C'est assez rare qu'un auteur fasse d'un chien un personnage central dans un roman. C'est un chien guide d'aveugle puisqu'Alice a perdu la vue dans sa jeunesse, on découvrira comment au fil des pages. Et ce chien va la guider jusqu'au jour...L'enfant qui sauva la terre de Didier van Cauwelaert - Le livre - Suite
    Nathalie Iris Non seulement j'ai aimé le dernier roman de Didier Van Cauwelaert mais je l'ai dévoré. En fait j'ai rencontré des personnes de chez Albin Michel, ils m'ont donné les épreuves, je l'ai commencé en rentrant chez moi et puis je ne l'ai pas lâché. Et ce roman m'a tellement conquise que j'ai demandé à Didier Van Cauwelaert d'être le parrain de la nuit blanche du livre, que j'organise fin juin à La Garennes-Colombes. Je trouve ce livre très drôle, mais derrière cette apparente drôlerie, il y a aussi beaucoup de...L'enfant qui sauva la terre de Didier van Cauwelaert - L'avis du libraire - Suite