Son père la rêvait avocate. C'est en romancière que Christine Orban s'est accomplie. Après un premier ouvrage paru en 1986, « Les petites filles ne meurent jamais », elle s'impose rapidement par l'élégance de son écriture, la modernité des sujets abordés et la douce mélancolie qui se dégage de sa personnalité. « La femme adultère », « La mélancolie du dimanche » ou « N'oublie pas d'être heureuse » font partie de ses succès de librairie. Derrière la timidité et la fragilité apparente de Christine Orban se...
Soumise de Christine Orban - Présentation - Suite
Philippe Chauveau :Bonjour Christine Orban, merci d'être avec nous. On le sait, vous êtes née au Maroc, à Casablanca, vous avez fait des études de droit pour satisfaire votre père, mais la lecture et l'écriture étaient déjà très présentes dans votre vie. C'était un besoin viscéral. L'écriture et la lecture sont-elles pour vous indissociables de votre bonheur.Christine Orban :Je suis pas sûre que le besoin de se surpasser, de faire quelque chose de difficile, aille avec le bonheur. Il y a surement au début, une certaine...
Soumise de Christine Orban - Portrait - Suite
Philippe Chauveau :dans ce nouveau roman, Christine Orban, vous vous êtes mise dans la peau de l'impératrice Joséphine. Joséphine qui n'est plus impératrice d'ailleurs à cette époque là puisque l'empereur est parti en exil à l'ile d'Elbe et Joséphine à sa table de travail à Malmaison, lui écrit pour retracer leur histoire, pour raconter leur amour. Qu'est ce qui vous a donné envie, Christine Orban, de vous mettre dans la peau de Joséphine.Christine Orban :c'est vrai que c'est assez mystérieux. Parce que finalement je...
Soumise de Christine Orban - Le livre - Suite
Christine Orban
Quel effet bizarre faites-vous sur mon coeur
Présentation 1'19Son père la rêvait avocate. C'est en romancière que Christine Orban s'est accomplie. Après un premier ouvrage paru en 1986, « Les petites filles ne meurent jamais », elle s'impose rapidement par l'élégance de son écriture,
la modernité des sujets abordés et la douce mélancolie qui se dégage de sa personnalité. « La femme adultère », « La mélancolie du dimanche » ou « N'oublie pas d'être heureuse » font partie de ses succès de librairie.
Derrière la timidité et la fragilité apparente de Christine Orban se cache une femme de tête, qui par l'écrit, apaise ses propres doutes et met en exergue les difficultés d'être et d'exister.
Dans son nouveau roman « Quel effet bizarre faites-vous sur mon cœur », Christine Orban endosse l'habit de Joséphine de Beauharnais. Mais plus que l'impératrice, c'est la femme amoureuse, bafouée, répudiée qui intéresse l'auteur.
Reprenant l'extrait d'une missive que lui envoya l'empereur, Christine Orban imagine Joséphine écrivant à Napoléon, exilé sur l'île d'Elbe.
Et en parcourant de livre, ce n'est pas un roman historique que nous découvrons mais bien une histoire très contemporaine, celle d'un couple qui s'est séparé, sans cesser de s'aimer.
« Quel effet bizarre faites-vous sur mon cœur » le nouveau roman de Christine Orban chez Albin Michel.
Christine Orban est avec nous sur WTC.
Son père la rêvait avocate. C'est en romancière que Christine Orban s'est accomplie. Après un premier ouvrage paru en 1986, « Les petites filles ne meurent jamais », elle s'impose rapidement par l'élégance de son écriture, la modernité des sujets abordés et la douce mélancolie qui se dégage de sa personnalité. « La femme adultère », « La mélancolie du dimanche » ou « N'oublie pas d'être heureuse » font partie de ses succès de librairie.
Derrière la timidité et la fragilité apparente de Christine Orban se cache une femme de tête, qui par l'écrit, apaise ses propres doutes et met en exergue les difficultés d'être et d'exister.
Dans son nouveau roman « Quel effet bizarre faites-vous sur mon cœur », Christine Orban endosse l'habit de Joséphine de Beauharnais. Mais plus que l'impératrice, c'est la femme amoureuse, bafouée, répudiée qui intéresse l'auteur. Reprenant l'extrait d'une missive que lui envoya l'empereur, Christine Orban imagine Joséphine écrivant à Napoléon, exilé sur l'île d'Elbe. Et en parcourant de livre, ce n'est pas un roman historique que nous découvrons mais bien une histoire très contemporaine, celle d'un couple qui s'est séparé, sans cesser de s'aimer.
« Quel effet bizarre faites-vous sur mon cœur » le nouveau roman de Christine Orban chez Albin Michel.
Christine Orban est avec nous sur WTC.
Christine Orban
Quel effet bizarre faites-vous sur mon coeur
Portrait 4'30Son père la rêvait avocate. C'est en romancière que Christine Orban s'est accomplie. Après un premier ouvrage paru en 1986, « Les petites filles ne meurent jamais », elle s'impose rapidement par l'élégance de son écriture,
la modernité des sujets abordés et la douce mélancolie qui se dégage de sa personnalité. « La femme adultère », « La mélancolie du dimanche » ou « N'oublie pas d'être heureuse » font partie de ses succès de librairie.
Derrière la timidité et la fragilité apparente de Christine Orban se cache une femme de tête, qui par l'écrit, apaise ses propres doutes et met en exergue les difficultés d'être et d'exister.
Dans son nouveau roman « Quel effet bizarre faites-vous sur mon cœur », Christine Orban endosse l'habit de Joséphine de Beauharnais. Mais plus que l'impératrice, c'est la femme amoureuse, bafouée, répudiée qui intéresse l'auteur.
Reprenant l'extrait d'une missive que lui envoya l'empereur, Christine Orban imagine Joséphine écrivant à Napoléon, exilé sur l'île d'Elbe.
Et en parcourant de livre, ce n'est pas un roman historique que nous découvrons mais bien une histoire très contemporaine, celle d'un couple qui s'est séparé, sans cesser de s'aimer.
« Quel effet bizarre faites-vous sur mon cœur » le nouveau roman de Christine Orban chez Albin Michel.
Christine Orban est avec nous sur WTC.
Philippe Chauveau :
Bonjour Christine Orban, merci d'être avec nous. On le sait, vous êtes née au Maroc, à Casablanca, vous avez fait des études de droit pour satisfaire votre père, mais la lecture et l'écriture étaient déjà très présentes dans votre vie. C'était un besoin viscéral. L'écriture et la lecture sont-elles pour vous indissociables de votre bonheur.
Christine Orban :
Je suis pas sûre que le besoin de se surpasser, de faire quelque chose de difficile, aille avec le bonheur. Il y a surement au début, une certaine mélancolie, un besoin de se prouver qu'on est capable et de conquérir peut être l'estime de soi. Aussi un besoin de comprendre les autres, de se comprendre. Nietzsche disait que « la meilleure façon de comprendre la vie, ce n'est pas de lire, c'est d'écrire un livre. ». Donc écrivons un livre. J'ai toujours écris.
Philippe Chauveau :
mais l'écriture était-elle ou est-elle encore aujourd'hui pour vous une sorte d'échappatoire, le besoin d'échapper à la réalité de votre quotidien ?
Christine Orban :
j'ai toujours eu deux vies. Comme une double vie, une vie dans la réalité et une vie dans l'imaginaire. Ce qui est merveilleux avec l'écriture, c'est qu'on peut vivre plusieurs vies. Là dans ce livre, j'ai pu être Joséphine. On peut avoir un autre destin que le sien et ça permet aussi de voyager. De voyager dans le temps, de voyager dans la tête d'un personnage, de vivre en effet plusieurs vies en plus de la sienne.
Philippe Chauveau :
vous parliez de mélancolie. La mélancolie est très présente dans votre écriture, dans vos romans, une douce mélancolie, est-ce l'un des traits de votre personnalité ?
Christine Orban :
oui je pense que la mélancolie, Victor Hugo l'appelait « le bonheur d'être triste ». Il y a un certain, probablement... Bonheur je dirais pas, mais c'est une façon d'être. On est mélancolique, on essaie de se soigner. Probablement que ça pousse à faire des choses, à écrire surement. Je pense que beaucoup d'écrivains, j'aime pas les généralités mais beaucoup d'écrivains sont en tout cas un peu obsessionnels. Pour rester assis je ne sais combien d'heures avec une seule idée en tête, il faut quand même être sacrément obsédé par un sujet. En même temps ça vous sépare un peu du monde, c'est un manière aussi de l'approcher, surement de plus près.
Philippe Chauveau :
mais cela veut dire que l'écriture vous apporte une sorte d'apaisement ?
Christine Orban :
elle est inévitable l'écriture pour moi. C'est plus une façon de vivre, je n'ai pas le choix. Etre apaisée, pas toujours. Ecrire sur une femme répudiée, et se prendre pour une femme répudiée, c'est difficile à vivre, c'est pas toujours apaisant. Je n'ai pas le choix, les sujets s'imposent à moi et il faut que j'écrive dessus.
Philippe Chauveau :
je le disais Christine Orban, vous avez cette réserve naturelle. Comme ci vous aviez du mal à vous dévoiler, à dire qui vous êtes réellement.
Christine Orban :
c'est très difficile l'interview parce qu'il y a quelque chose d'artificiel. Moi, il n'y a pas une interview dont je suis contente. Si vous voulez que je vous dise le fond de mon âme, il faudrait me poser les questions par écrit, parce que j'ai l'impression que je ne peux la livrer qu'avec un stylo, ou une plume ou un crayon. Si j'écris, c'est que j'ai l'impression que je ne sais pas bien parler.
Philippe Chauveau :
on vous sait, Christine Orban, assez pudique, assez réservée. Pourtant vous n'hésitez pas à fréquenter les salons du livre et les librairies pour des séances de dédicaces. Que vous apporte cette rencontre avec vos lecteurs ?
Christine Orban :
c'est énorme comme satisfaction, lorsqu'on rencontre quelqu'un qui vous dit que votre livre l'a aidé à comprendre, l'a guéri parfois. Ou bien qu'en vous lisant, il a rencontré une âme sœur, qu'il se sent moins seul. On sait pourquoi on écrit.
Philippe Chauveau :
votre actualité Christine Orban, votre nouveau roman chez Albin Michel, « quel effet bizarre faites vous sur mon coeur ».
Christine Orban
Quel effet bizarre faites-vous sur mon coeur
Le livre 5'02Dans ce nouveau roman, Christine Orban, vous vous êtes mise dans la peau de l'impératrice Joséphine. Joséphine qui n'est plus impératrice d'ailleurs à cette époque là puisque l'empereur est parti en exil à l'ile d'Elbe et Joséphine à sa table de travail à Malmaison,
lui écrit pour retracer leur histoire, pour raconter leur amour. Qu'est ce qui vous a donné envie, Christine Orban, de vous mettre dans la peau de Joséphine.
C'est vrai que c'est assez mystérieux. Parce que finalement je n'avais jamais écrit de livre d'histoire. C'est plus le destin d'une femme qui a été aimée d'un homme tel que Bonaparte et dont les émotions m'intéressaient. J'avais écrit beaucoup de livres et au fond,
jamais l'histoire d'une femme rejetée, divorcée, répudiée puisqu'il est empereur. Et celle là ressemblait finalement à tous les récits des amis dans ses émotions. Donc j'avais envie de comprendre. Vous savez, elle n'avait pas très bonne réputation
et j'aime bien m'intéresser aux gens qui ne sont pas si évidents. Pas forcement être son avocate mais comprendre.
A la différence de Marie Antoinette ou de l'impératrice Eugénie, Joséphine à été appréciée par le peuple français et pourtant elle reste méconnue. Et puis il y a des clichés, on la disait fantasque, volage, dépensière. Vous même quel idée aviez vous de Joséphine ?
Aviez vous des idées préconçues et votre regard a-t-il changé au fil de l'écriture ?
Bien sur qu'il a changé, je me suis aperçue qu'il y avait trois Joséphine. En effet la volage que vous évoquez à l'instant mais là c'est une femme qui a failli être guillotinée. Donc après la terreur, comme vous le savez il y a eu une période de libertinage et elle l'a subie elle aussi.
Il y a la Joséphine impératrice soumise à Bonaparte. Et il y a celle qui m'intéresse moi, c'est celle qui dira « j'ai été impératrice je serais maintenant moi même », « j'étais Joséphine et je serais maintenant moi même. ». Et qui va être elle même.
Et qui est finalement moins connue, cette période où Joséphine sans Bonaparte. Qui va la répudier en continuant à l'aimer et elle évidement l'aimant aussi. Donc quand elle va recevoir cette gifle du destin, au même endroit que Marie Antoinette, aux Tuileries.
Quand Bonaparte va la répudier, et je me suis très intéressée à reconstituer cette scène de répudiation qui pour moi est essentielle et dont on sait très peu. Elle va réaliser des choses et là elle va être une autre personne.
En lisant votre ouvrage, Christine Orban, je n'ai pas eu l'impression de lire un roman historique mais bien un roman contemporain. L'histoire d'une femme moderne, une femme d'aujourd'hui, délaissée par son époux, un divorce, des beaux-enfants qui se demandent encore
s'ils doivent avoir de l'affection pour celui qui fut leur beau père, Napoléon, l'arrivée d'un enfant, d'un bébé dans ce nouveau couple qui s'est formé. Ce sont des questions qui reviennent très souvent dans notre monde d'aujourd'hui.
C'est pour ça aussi que ça m'a beaucoup intéressé. C'est un sujet totalement intemporel et au travers de ce sujet qui a évidement une couverture historique, je parle de toutes les femmes et de tous les hommes qui se séparent, et lorsque les sentiments perdurent malgré la séparation.
C'est douloureux, je parle de la douleur aussi en amour et là j'ai dû puiser dans des sentiments très personnels, passés. Je me souviens que j'avais parlé avec une très grande actrice qui m'avait dit que quand elle jouait un rôle, elle devait réveiller,
si c'était le rôle d'une femme rejetée, des peines passées. Et là j'ai du réveiller aussi des sentiments passés pour retrouver le juste vocabulaire de la douleur et c'est en cela que c'est dangereux en effet.
Cette incarnation, à ce point là, d'un personnage, et c'est en cela que c'est peut être plus qu'un livre historique en tout cas j'ai essayé d'avoir la rigueur d'un historien. Mais je me permets ce qu'ils ne peuvent pas se permettre évidement,
seul un romancier peut faire ce travail qui peut comporter des erreurs forcément mais de me mettre à la place « de ». Et de l'étudier de l'intérieur.
Christine Orban, « Quel effet bizarre faites vous sur mon coeur », cette jolie phrase que vous avez emprunté à Napoléon écrivant à Joséphine, c'est votre nouveau roman et c'est aux éditions Albin Michel.
Philippe Chauveau :
dans ce nouveau roman, Christine Orban, vous vous êtes mise dans la peau de l'impératrice Joséphine. Joséphine qui n'est plus impératrice d'ailleurs à cette époque là puisque l'empereur est parti en exil à l'ile d'Elbe et Joséphine à sa table de travail à Malmaison, lui écrit pour retracer leur histoire, pour raconter leur amour. Qu'est ce qui vous a donné envie, Christine Orban, de vous mettre dans la peau de Joséphine.
Christine Orban :
c'est vrai que c'est assez mystérieux. Parce que finalement je n'avais jamais écrit de livre d'histoire. C'est plus le destin d'une femme qui a été aimée d'un homme tel que Bonaparte et dont les émotions m'intéressaient. J'avais écrit beaucoup de livres et au fond jamais l'histoire d'une femme rejetée, divorcée, répudiée puisqu'il est empereur. Et celle là ressemblait finalement à tous les récits des amis dans ses émotions. Donc j'avais envie de comprendre. Vous savez, elle n'avait pas très bonne réputation et j'aime bien m'intéresser aux gens qui ne sont pas si évidents. Pas forcement être son avocate mais comprendre.
Philippe Chauveau :
a la différence de Marie Antoinette ou de l'impératrice Eugénie, Joséphine à été appréciée par le peuple français et pourtant elle reste méconnue. Et puis il y a des clichés, on la disait fantasque, volage, dépensière. Vous même quel idée aviez vous de Joséphine ? Aviez vous des idées préconçues et votre regard a-t-il changé au fil de l'écriture ?
Christine Orban :
bien sur qu'il a changé, je me suis aperçue qu'il y avait trois Joséphine. En effet la volage que vous évoquez à l'instant mais là c'est une femme qui a failli être guillotinée. Donc après la terreur, comme vous le savez il y a eu une période de libertinage et elle l'a subie elle aussi. Il y a la Joséphine impératrice soumise à Bonaparte. Et il y a celle qui m'intéresse moi, c'est celle qui dira « j'ai été impératrice je serais maintenant moi même », « j'étais Joséphine et je serais maintenant moi même. ». Et qui va être elle même. Et qui est finalement moins connue, cette période où Joséphine sans Bonaparte. Qui va la répudier en continuant à l'aimer et elle évidement l'aimant aussi. Donc quand elle va recevoir cette gifle du destin, au même endroit que Marie Antoinette, aux Tuileries. Quand Bonaparte va la répudier, et je me suis très intéressée à reconstituer cette scène de répudiation qui pour moi est essentielle et dont on sait très peu. Elle va réaliser des choses et là elle va être une autre personne.
Philippe Chauveau :
en lisant votre ouvrage, Christine Orban, je n'ai pas eu l'impression de lire un roman historique mais bien un roman contemporain. L'histoire d'une femme moderne, une femme d'aujourd'hui, délaissée par son époux, un divorce, des beaux-enfants qui se demandent encore s'ils doivent avoir de l'affection pour celui qui fut leur beau père, Napoléon, l'arrivée d'un enfant, d'un bébé dans ce nouveau couple qui s'est formé. Ce sont des questions qui reviennent très souvent dans notre monde d'aujourd'hui.
Christine Orban :
c'est pour ça aussi que ça m'a beaucoup intéressé. C'est un sujet totalement intemporel et au travers de ce sujet qui a évidement une couverture historique, je parle de toutes les femmes et de tous les hommes qui se séparent, et lorsque les sentiments perdurent malgré la séparation. C'est douloureux, je parle de la douleur aussi en amour et là j'ai dû puiser dans des sentiments très personnels, passés. Je me souviens que j'avais parlé avec une très grande actrice qui m'avait dit que quand elle jouait un rôle, elle devait réveiller, si c'était le rôle d'une femme rejetée, des peines passées. Et là j'ai du réveiller aussi des sentiments passés pour retrouver le juste vocabulaire de la douleur et c'est en cela que c'est dangereux en effet. Cette incarnation, à ce point là, d'un personnage, et c'est en cela que c'est peut être plus qu'un livre historique en tout cas j'ai essayé d'avoir la rigueur d'un historien. Mais je me permets ce qu'ils ne peuvent pas se permettre évidement, seul un romancier peut faire ce travail qui peut comporter des erreurs forcément mais de me mettre à la place « de ». Et de l'étudier de l'intérieur.
Philippe Chauveau :
Christine Orban, « Quel effet bizarre faites vous sur mon coeur », cette jolie phrase que vous avez emprunté à Napoléon écrivant à Joséphine, c'est votre nouveau roman et c'est aux éditions Albin Michel.